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Dernière mise à jour le :

24/04/2017

Il est revenu, le temps des cathédrales.


Dix-huit ans après sa première présentation, la comédie musicale de Luc Plamondon et Richard Cocciante a repris du service à Paris en décembre dernier, dans une version revue.

« Reprendre du service » est peut-être exagéré. En réalité, Notre-Dame de Paris n'a jamais vraiment arrêté. Mais on peut dire que cette nouvelle mouture, présentée au Palais des congrès de Paris jusqu'au 8 janvier, puis dans le reste de la France en 2017, est une sorte de « second début », après un long détour par l'international.

Les décors n'ont pas changé. Pas plus que les arrangements musicaux. En revanche, les costumes ont été entièrement rafraîchis, tout comme la distribution. De la comédie musicale Notre-Dame de Paris originale, seul Daniel Lavoie est encore là, impérial dans le rôle de Frollo.

Côté mise en scène, Gilles Maheu a resserré quelques boulons et totalement repensé le tableau du Val d'Amour, désormais plus proche du Dortoir de Carbone 14 que du film Moulin Rouge. Enfin, les éclairages ont été rehaussés, pour un résultat plus lumineux.

 

[JPG] NotreDameParis 
  À la question « Pourquoi refaire ce qui a déjà été fait ? », le producteur du spectacle, Nicolas Talar, qui a pris la relève de son père Charles, répond : « Parce que c'était le moment. » Il y a 15 ans que Notre-Dame de Paris a été présentée pour la dernière fois en France. Vingt ans que Plamondon et Cocciante ont commencé à plancher sur cette production, qui a fait plusieurs fois le tour du monde et révélé des chanteurs comme Garou et Hélène Ségara. « Il ne fallait pas qu'on oublie », dit-il.

Talar estime, par ailleurs, que le propos du spectacle est toujours aussi pertinent.

« Les problèmes qui étaient là en 1998 sont encore plus présents aujourd'hui. Les sans-papiers, l'exil, l'asile, la lutte des classes. Et l'histoire d'amour, je n'en parle même pas... »






Dernière modification le 07/03/2017

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